Avant toute chose, je vous rappelle les règles. Pour chaque sortie, un, deux ou trois volontaires organisent la sortie. Nous avons eu des bons, des très bons et des moins bons organisateurs. Là, nous avons franchi un cap. Au total, 7 volontaires pour organiser cette sortie. C'est de la provocation !!! Une sacrée équipe de bras cassés. Que je vous raconte.
L'aller, mal organisé bien évidemment. Le choix fait de la route nous a conduits sous la pluie. Il aurait fallu contourner le nuage tout simplement. Traversée de Clermont dans les bouchons…alors qu'il aurait fallu contourner la ville. Fin de trajet, encore sous la pluie. Alors qu'il aurait fallu ... Bon bref, il n’y a plus rien à espérer.
Bon, on y est. On s'installe. On me souffle dans le creux de l'oreille que le sucre a été oublié pour le petit déjeuner. Pfff. Ça promet. Wait and see.
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On commence notre installation : barnum, tables, chaises, barbecues (comment ont-ils pu emmener tout ça sur les motos ?) car bien évidemment rien n’est fait. Vous me connaissez maintenant. Je me suis mis de côté pour éviter la corvée. Sachez que même avec le manuel, il a bien fallu une bonne heure avec bières et encouragements pour tout installer.
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La soirée débute et là, comment dirais-je, un grain de sable peut-être et tout a dérapé. Peut-être une porte spatio-temporelle a été franchie lors de l’aller. Je ne sais pas mais nous nous sommes dirigés vers un épilogue tragique… Vue sur des lunes. Et je peux vous assurer qu’elles n’étaient même pas bronzées.
Mais que faisait le Président pour peser sur la situation, pour arrêter ces agissements ? QUOI ! Il participe lui aussi !!
Nous avançons dans la soirée. Mini mini Maïté nous fait le feu et fait cuire les merguez (Pas réussi : pas de braise, pas assez cuit). Ensuite, nous nous sommes dirigés vers le dessert.
Et crac badaboum. Changement de style, changement de thème, Changement de rimes. Et Oulahup barbatruc, retour vers l’enfer des années fin 70. Mon époque, ma génération, mes idoles. Les artistes sont en piste. Show go on.
C’était très bien, c’était très bien. Les girls très très bien. Toi le moustachu c’était bien. Toi l’indien c’était cousis cousas. Dites-moi vous là-bas les deux chapeautés, on ne vous a pas vus. On ne vous voit jamais. Vous n’arrêtez pas de bavarder. Faites attention, faites très attention. Ecoutez, j’ai une conception très particulière de cette œuvre. De l’orgueil enfin ! ymca YMCA. Bon sang. C’était de la bouillie tout ça.
C’était pas mauvais, c’était très mauvais. Allez, reprenez !
Mais que faisait le Président pour remettre de l’ordre ? QUOI ! Il est sur sa chaise. Non, plus maintenant, il est sous sa chaise par terre !!
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Pause, temps mort…
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9 heures. Lever sous un concert de pics-verts. Petit déjeuner et mise en jambe par une visite au marché du coin (dites-leurs c’est qu’en juillet le marché). On se rabat sur le château.
Retour tranquille.
Fin de la sortie.
Je dois bien le reconnaitre, à contre cœur, que ce sera une sortie que l’on
Total respect !
Merci à l’équipe des 7 à savoir (dans le désordre) Brigitte, Chantal, Michelle, Francis, Christian, Alain et Christian.
Merci également à Martine et Bernard pour leur camping-car (on n’a même pas pensé à crever les pneus. Tout se perd).
Many thanks to the Netherlands family for having tolerated us. We will keep a great souvenir.
Thierry J.
Lac Chambon : Les photos
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